Un chef d'entreprise peut recourir à l'intérim, sous certaines conditions, afin de pallier à une augmentation ponctuelle de son activité ou de compenser l'absence d'un ou de plusieurs salariés permanents. Adopter le principe de recourir à l'intérim est aussi un moyen de réduire ses effectifs permanents, pour pouvoir plus facilement faire face à une baisse de l'activité.
Egalement appelée "outsourcing", l'externalisation est une stratégie mise en place par une entreprise consistant en un transfert de ses activités vers un prestataire extérieur. Considéré comme un élément de compétitivité et un facteur de souplesse supplémentaires, l'externalisation offre une plus grande souplesse en cas de fluctuation de l'activité.
Baisse de la demande, croissance en panne : une conjoncture morose se traduit généralement par une baisse de l'activité économique. Les chefs d'entreprise ont à leur disposition différentes variables d'ajustement qui leurs permettent de s'adapter à la réalité du terrain.
Pour compléter la retraite des salariés gérée par le régime général de la Sécurité sociale, les entreprises proposent deux formes d'assurance professionnelle : les contrats collectifs complémentaires et les plans d'épargne supplémentaire.
Certaines conventions obligent les entreprises à mettre en place des contrats de prévoyance collectifs afin d'améliorer la protection sociale des salariés, et de couvrir divers risques liés aux aléas de l'existence : décès, incapacité ou invalidité.
Selon qu'il soit salarié ou indépendant, le chef d'entreprise ne bénéficie pas des mêmes garanties et doit souscrire des contrats d'assurance différents pour améliorer sa protection. Notamment les contrats Madelin.